Développe ton leadership avec AIESEC Sherbrooke 

Par Sarah Gendreau Simoneau 

AIESEC Sherbrooke, présent depuis 1968 sur le campus principal, aide à développer la compétence du leadership.  

L’Association internationale des étudiants en sciences économiques et commerciales de Sherbrooke (AIESEC) est une association étudiante née dans la Faculté de gestion qui vise à développer le leadership des jeunes. 

C’est par des échanges interculturels volontaires avec des ONG et des écoles ou encore en effectuant un stage rémunéré avec des entreprises que l’AIESEC aide au développement du leadership.  

L’AIESEC existe à l’international, au niveau national au Canada et par de plus petits comités au Québec et répartis un peu partout au pays. L’AIESEC a été créé en 1948 à la suite de la Seconde Guerre mondiale et préconise l’ouverture et la compréhension entre les différents peuples et nations du monde. Sa mission première est d’aider à développer la personnalité même des étudiantes et étudiants à travers les échanges de stages internationaux. 

À l’Université de Sherbrooke, le regroupement existe depuis 1968. « C’est une occasion de développer des compétences dans toutes sortes de domaines, explique Léa Gagneux, présidente d’AIESEC Sherbrooke. C’est ce qui diffère d’un programme d’études classiques si on veut. Je suis en physique, donc personnellement, je ne vois pas ça dans mon cursus universitaire. » 

Elle ajoute qu’il s’agit d’un bon moyen de se créer un réseau à travers le pays, mais aussi dans l’université. « On rencontre des gens de différents organismes, d’entreprises. »  

À petite échelle à l’UdeS 

Ici, à l’université, le regroupement tente de rassembler les membres en proposant quelques petites activités comme des jeux de laser tags, des activités spéciales selon les périodes de l’année comme l’Halloween ou Noël. « On essaie de faire des rencontres tous ensemble pour se connaître et pour se créer un réseau. » 

Le comité compte, pour le moment, une dizaine d’étudiantes et d’étudiants, tout dépendant des sessions de stage ou de cours. 

Plusieurs façons de s’impliquer existent. Tout d’abord, le bénévolat permet aux jeunes de s’affilier avec des écoles et des ONG sur une durée de six à huit semaines, selon les 17 objectifs du développement durable émis par l’ONU. 

Ensuite, deux programmes sont à la disposition des gens qui s’intéressent à l’AIESEC. « Un d’eux est axé sur l’enseignement et s’adresse aux gens qui ont terminé leurs études en éducation, peu importe le domaine. L’autre, c’est plus sous forme de stages professionnels rémunérés en informatique, en mathématique, en marketing, en gestion, en business, en ingénierie, etc. » 

Faire partie de l’AIESEC a permis à Léa Gagneux de développer ses capacités de gestion d’une équipe en tant que présidente, en plus de l’aider à s’améliorer en anglais. 

Des conférences de l’AIESEC sur le leadership ont lieu chaque année, au Canada, ainsi que des forums avec des professionnels. « Prendre part à ça permet, à ceux et celles qui sont aux études, de se trouver des stages ou des emplois. Les conférences nous en apprennent plus sur la gestion des comités, en plus de se familiariser à la culture d’AIESEC. » Ce genre de conférences se donnent également au Québec, à plus petite échelle. 

Devenir membre de l’AIESEC Sherbrooke t’intéresse ou tu souhaites en connaître un peu plus sur ce que le regroupement offre comme services ? Tu peux les contacter par leur page Instagram ou encore en t’inscrivant directement sur le site Web d’AIESEC Canada

Le regroupement propose une activité sous forme de 5 à 7, ce lundi 23 septembre à La Zone au E1-001, afin de découvrir leurs pays partenaires!  


Crédits: AIESEC Sherbrooke

Sarah Gendreau Simoneau
Rédactrice en chef et directrice volet production, auparavant cheffe de pupitre SPORT ET BIEN-ÊTRE at journal Le Collectif  redaction.lecollectif@USherbrooke.ca  Web   More Posts

Passionnée par tout ce qui touche les médias, Sarah a effectué deux stages au sein du quotidien La Tribune comme journaliste durant son cursus scolaire, en plus d’y avoir œuvré en tant que pigiste durant plusieurs mois. Auparavant cheffe de pupitre pour la section Sports et bien-être du journal, et maintenant rédactrice en chef, elle est fière de mettre sa touche personnelle dans ce média de qualité de l’Université de Sherbrooke depuis mai 2021.  

Elle s’efforce, avec sa curiosité légendaire, de dénicher les meilleurs sujets diversifiés pour vous! 

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