Par Félix Boulanger-Martin
Depuis un certain temps, plusieurs « bris » semblent affecter des infrastructures ou des monuments de Sherbrooke et de l’Université.
Comme je ne suis probablement pas le seul à me demander quand le tout sera réparé, j’ai fait une petite enquête afin de pouvoir partager l’information avec l’ensemble de la communauté universitaire.
L’ascenseur vitré

Bon nombre d’entre nous passons quotidiennement par le Pavillon multifonctionnel pour prendre l’autobus, aller à la Coop ou à la cafétéria. Le fait que l’ascenseur n’est plus fonctionnel n’a pas dû vous échapper. Il ne l’est plus depuis la mi-janvier, soit depuis plus de deux mois. Si vous aviez l’habitude de l’emprunter, vous vous êtes sûrement demandé pourquoi le délai de réparation est si long. Selon le Service des Immeubles de l’Université, une pièce de remplacement devrait arriver à la mi-mai afin de le remettre en état. Souvenons-nous que le Pavillon multifonctionnel a été construit en 1994 et que l’ascenseur vitré de son atrium était à l’époque une curiosité unique en ville. Depuis, d’autres endroits s’en sont pourvus, dont le Carrefour de l’Estrie.
La cheminée

À quelques pas du fameux ascenseur, une autre icône de longue date de l’Université ne fonctionne plus normalement. Depuis un bon moment, les feux clignotants rouges de la cheminée de la centrale thermique demeurent éteints. Visibles d’une bonne partie de Sherbrooke à la nuit tombée, ils étaient un point de repère évident à la fois pour les personnes habitant la ville et les visiteurs. Le Service des Immeubles fait savoir que le système de chauffage de la centrale a été modifié et que la cheminée sera changée dans une échéance qui reste à déterminer.
La cathédrale

C’est hors campus, mais personne ne peut nier l’importance de la vue que l’on a de la façade arrière de la cathédrale Saint-Michel. Sa vue, depuis les ponts Aylmer et Saint-François, est une image de longue date représentant Sherbrooke. Depuis un moment déjà, elle n’est plus éclairée. Cela est dû au fait que le luminaire qui l’éclairait se trouvait sur le toit de l’édifice de Caritas Estrie qui a été démoli, tout comme le poteau d’Hydro-Sherbrooke qui y amenait l’électricité. Des négociations sont en cours afin de trouver une nouvelle façon de l’éclairer.
Crédits : Félix Boulanger-Martin