Crédit photo © Josten
Par Laurence Poulin
Nouvelle saison, nouvelle Chef de pupitre
Au fil de mes trois dernières années d’études à l’UdeS, j’ai pu rencontrer différentes personnes qui m’ont guidée et menée vers Le Collectif. C’est donc un honneur pour moi d’être nouvellement chef de pupitre pour cet été et d’avoir la chance d’écrire sur des sujets qui touchent notre université et ses étudiants. N’étant pas une Sherbrookoise d’origine, je suis ravie de pouvoir écrire sur notre campus, si beau et vivant.
Pour la majorité des étudiants, la présente période de l’année est synonyme de changements. La session d’hiver est terminée, le début de la session d’été vient de commencer pour certains. Pour d’autres, l’été correspond aux différents emplois étudiants ou stages coop. Bien souvent, ces expériences de travail nous aident à nous définir et à établir encore plus nos intérêts et ce dans quoi l’on souhaite précisément travailler après nos études. Dans certains cas, ces expériences s’avèrent plus ardues que prévu.
Le travail après les études à l’UdeS
Cela m’amène à aborder la recherche d’emploi suite à des études universitaires complétées. Que ce soit à la fin d’un certificat, d’un baccalauréat ou d’une maitrise, la quête de l’emploi rêvé n’est pas toujours sans embuches. Toutefois, l’enquête Relance, menée par le Service de psychologie et d’orientation de l’Université (en collaboration avec le vice-rectorat à l’enseignement), révélait pour l’année 2012 que 93,5 % des diplômés et diplômées de l’Université de Sherbrooke avaient un emploi à temps plein, un an seulement après l’obtention de leur diplôme. De surcroit, 91,7 % des bacheliers sur le marché du travail s’étaient placés dans un domaine relié à leurs études. Enfin, 32 % des diplômés auraient obtenus leur emploi à la suite d’un stage.
Somme toute, ce sont des expériences comme des stages ou encore des voyages qui nous façonnent et nous permettent de découvrir qui l’on est et ce que l’on souhaite faire plus précisément. Ces moments permettent d’en apprendre davantage sur un poste ou un travail précis, ou encore sur nous-mêmes. Il est normal de se remettre en question, de parfois dévier du chemin que l’on s’était tracé dans notre tête au tout début. De plus, je considère même que c’est bénéfique que ce soit ainsi. De telles études nous font évoluer sur le plan individuel et viennent dans certains cas modifier nos attentes et nos intérêts.
Je nous souhaite à tous un été de quatre beaux mois (les plus chauds et ensoleillés possibles) remplis de découvertes et de belles expériences enrichissantes! Qu’elles nous amènent à nous épanouir et nous portent vers de nouveaux horizons pour le futur.