Un succès retentissant pour le FEQ 2024 

Par Gabrielle Goyet 

Le public était si nombreux à l’occasion de la performance de Post Malone que le site a dû fermer ses portes près de 45 minutes avant son entrée sur scène, faute de capacité. 

Du 4 au 14 juillet dernier, plus de 175 artistes et groupes ont pris d’assaut la ville de Québec dans le cadre du Festival d’été de Québec (FEQ). C’est avec une programmation diversifiée et haute en couleur que l’événement est revenu pour l’édition 2024, soit 56 ans après avoir vu le jour.  

Les festivaliers ont pu apprécier des rythmes variés, allant du rap à la musique électronique, en passant par le heavy métal et le reggaeton. Bien sûr, une foule d’artistes québécois ont également eu la chance de prendre part à l’événement, rassasiant les plus fervents amateurs de musique québécoise. 

Parmi les têtes d’affiches de l’événement, on retrouvait notamment Nickelback, 50 Cents, les Jonas Brothers, Alexandra Stréliski, Karkwa, Alan Walker et plusieurs autres. Le festival possédait quatre sites principaux où se déroulaient les spectacles, en plus d’une scène supplémentaire au manège militaire pour les « ExtrasFEQ », qui offraient deux DJs sets par soirée à compter de 22 h 30. 

Des vedettes internationales 

Les plaines d’Abraham ont atteint leur capacité maximale le vendredi 12 juillet, alors que l’étoile américaine Post Malone a livré une performance des plus mémorables. Le chanteur a démontré le succès de son vaste répertoire musical, faisant vibrer et chanter la foule de 100 000 personnes pendant plus de 90 minutes. Le public a d’ailleurs été conquis par la gentillesse de l’artiste, qui a choisi de faire monter sur scène un spectateur pour l’accompagner à la guitare pour la chanson Stay. 

Pour clore la 11e et dernière journée du FEQ, ce sont les légendes du glam métal, Mötley Crüe, qui ont enflammé la scène principale. Les prouesses exercées n’ont pas laissé transparaitre l’âge des membres du groupe, étant désormais pour la plupart sexagénaires. C’est sur une atmosphère d’euphorie que les festivaliers ont finalement quitté la vieille capitale, déjà fébriles à l’idée de l’édition 2025.  


Crédits: Gabrielle Goyet

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